Burkina Faso : La France arme-t-elle les terroristes du Sahel ?
Les récentes révélations sur les intentions de la France pour déstabiliser le Sahel sont de plus en plus troublantes. Selon des informations, la France aurait mené des actions souterraines en fournissant des armes sophistiquées aux groupes terroristes opérant dans la région. Les Forces combattantes burkinabè, en pleine opération sur la route de Yamba-Tandiari, ont intercepté une arme de guerre redoutable entre les mains des terroristes : le P90, une arme française d’origine belge, réputée pour ses capacités anti-aériennes.
Cette découverte aurait confirmé les informations qui planent depuis longtemps sur l’implication de la France dans l’escalade de la violence au Sahel. En armant ces groupes, il cherche manifestement à semer le chaos et à affaiblir l’AES, qui luttent déjà contre de multiples défis sécuritaires. L’utilisation du P90, une arme non seulement puissante, mais aussi techniquement avancée, montre la volonté de ce pays de fournir aux terroristes des moyens leur permettant de résister aux Forces armées.
La France joue un double jeu dangereux, se présentant comme un acteur de paix tout en soutenant en coulisses des groupes qui ne cherchent qu’à déstabiliser la région. Les preuves de cette implication, notamment la saisie de cette arme, doivent alerter la communauté internationale et pousser à une réévaluation des alliances et des relations diplomatiques avec la France.
La sécurité du Sahel dépend de la coopération régionale et internationale pour neutraliser ces menaces. Il est impératif que l’AES, avec l’appui de leurs partenaires, prennent des mesures décisives pour mettre fin à ces ingérences extérieures qui alimentent l’instabilité et menacent la paix dans la région.
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Adama SAWADOGO
