Burkina-Faso: Marche vers la stabilité et la souveraineté totale/ et si on prolongeait le mandat de la transition à 10 ans?

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Tous les observateurs avisés de la scène politique burkinabè s’accordent pour dire que c’est sous le Président Ibrahim Traoré que la guerre proprement dite pour libérer le Burkina des mains des éléments terroristes a vraiment démarré. Animé d’un patriotisme inébranlable, le capitaine Ibrahim Traoré, dès son avènement au pouvoir n’a pas perdu de temps pour prendre le taureau par les cornes, en mettant en place une stratégie de guerre jamais expérimentée dans le pays, dont les résultats démontrent son efficacité.

Grâce à sa clairvoyance, le capitaine Traoré a défait les accords de coopération nuisibles signés par son pays, qui au lieu de permettre à stopper l’avancée du fléau, l’enfonçaient plutôt dans un lendemain incertain et choisit de faire de la lutte, une affaire burkinabè. Simultanément à la guerre anti-terrorisme, des projets révolutionnaires et innovants s’enchaînent, pour amorcer la croissance économique du pays, et créer des emplois. Pour le jeune dirigeant, la vision est de faire du Burkina Faso, un pays autonome dans divers domaines, pour l’épanouissement de sa population.

Cet engagement s’avère salvateur pour le pays, en quête depuis des décennies d’un leader incarnant la vision de son ancien président, le révolutionnaire et panafricain Thomas Sankara.

Ce nouveau tournant amorcé par le pays sous la direction du MPSR est un travail de longue haleine qui nécessite du temps. Il est alors indispensable  au cours des assises des 25 et 26 mai que les populations puissent décider d’accorder un mandat minimum de 10 ans à la transition pour qu’elle puisse achever sa mission. Celle de conduire le pays vers la prospérité et la souveraineté tant voulue.

Raïssa KANDA

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