Burkina-Faso: De la nécessité de soutenir le Capitaine Ibrahim Traoré et sa politique d’un développement endogène

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Outre la vision de sortir le Burkina du joug terroriste, une kyrielle de programmes de développement voient le jour au Burkina depuis l’avènement au pouvoir du Président Ibrahim Traoré. Résolument engagé à libérer le pays des mains des terroristes, le Capitaine Ibrahim Traoré met les bouchées doubles, pour accélérer le progrès économique du Burkina Faso. Pour ce faire, le Chef de l’Etat  mise sur une participation endogène. Du recrutement des VDP, à la création d’un fonds de contribution volontaire à l’effort de paix, la volonté d’un développement participatif du Capitaine Traoré s’affiche dans chacune de ses actions.

Le Burkina de demain dont rêve le Capitaine Ibrahim Traoré est un Burkina prospère où règnent la paix et la sécurité. Et  pour lui, cet idéal  ne peut se faire que par la participation de tous ses fils et filles. Toutes les forces et bras valides du pays, quel que soient leurs statuts doivent être impliqués dans la construction de ce pays de rêve. C’est ce qui justifie la décision ferme du Capitaine de ne faire appel à aucune force étrangère dans la guerre de la reconquête du territoire national, et à opter pour le recrutement des civils désireux de faire hériter un pays stable aux générations futures.

Aujourd’hui, le travail remarquable que fournissent les Volontaires pour la défense de la Patrie (VDP) aux côtés des forces armées nationales prouvent l’efficacité de ce choix de guerre. 12 mois après leur recrutement, des avancées notables sont enregistrées sur les théâtres des opérations, avec plusieurs localités reprises des mains des forces du mal.

Sur le plan économique, la transition a lancé le programme de l’entrepreneuriat communautaire par actionnariat populaire. Un programme ambitieux qui se veut pourvoyeur  de million d’emplois directs en deux ans et de faire du secteur privé le véritable moteur de la croissance économique. L’appel à financer le développement du pays a reçu un échos favorable auprès de la population qui s’est massivement faire inscrire en tant qu’actionnaire. La première usine issue de ce programme n’a pas tardé à voir le jour trois mois après son lancement avec la pose de la première pierre d’une usine de transformation de tomate à Bobo-Dioulasso.

Très attaché aux valeurs qui caractérisent la société africaine, le Président aspire à faire de la justice burkinabè pour une justice bâtie sur les traditions africaines. De ce fait, il a mis le cap sur les pensionnaires des prisons du pays, pour les faire participer à la construction de la nation.

“Hormis les criminels dangereux, je souhaite qu’on puisse transformer ces peines en travaux d’intérêts publics”, a expliqué le Chef de l’Etat. Dans cette dynamique, les pénitenciers sont impliqués dans l’initiative présidentielle pour l’agriculture et mènent des activités l’agriculture et l’élevage.

Au lieu que la prise en charge des prisonniers constituent un poids pour l’Etat, il est plus utile d’inciter les détenus à participer à leur alimentation et que le surplus soit utilisé pour favoriser l’auto-suffisance alimentaire des populations en général.

Il est nécessaire que le peuple puisse comprendre et soutenir le Président de la transition dans cette politique d’un développement endogène, afin que chacun puisse jouer sa partition pour un Burkina meilleur.

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